La levée des pancartes, les cris mélancoliques et la marche des gens en groupes dans 35 comtés au Kenya déclenché par les impôts élevés. Dirigé par Generation Z, ils avaient un hashtag #rejectfinancebill2024 qui a été utilisé par les résidents, pour celles et ceux qui était dans le pays et ailleurs, dans la diaspora. Ce sujet n’a non seulement été au sommet des actualités nationales mais aussi à l’échelle internationale. “Can’t believe it !!!”
Les manifestations ont tourné au vinaigre quand les policiers jetaient de gaz lacrymogène qui a causé les blessures aux gens. Comme si ce n’était pas assez, les policiers commençaient à battre et tirer sur les gens. Ceci a aggravé la situation. A l’autre cote, au Parlement du Kenya, la plupart des député(e)s se sont mis en accord avec la loi de finance. Par conséquent, l’inquiétude et la colère des autochtones remontait jusqu’au point où la situation s’est dérapée et devenue incontrôlable.
L’incendie des maisons et des entreprises des certains députés, l’entrée et la destruction du parlement se sont poursuivies. Après la fusillade, des ambulances se succèdent en véhiculant les blessé(e)s à l’hôpital. Plus de 250 personnes ont été tuées et davantage de 350 blessées pendant les manifestations.
Malgré le fait que les citoyens aient le droit de manifester, il existe des groupes de personnes qui se servent de cette situation. Les cas de vol de commerces sont nombreux en ce moment.
Il est louable de se prémunir des situations qui sont malintentionnées.
Écrit par : Ariana Ann WANJIRU