Moi qui suis perdu dans ce silence
Qui laisse entre nous la distance
Et l’omniprésence de cet amour intense Vide de
sens sans ta présence ,
Je porte dans mon pauvre cœur :
La plus belle triste douleur
d’un chagrin d’amour solitaire,
le refrain d’une émotion éphémère
qui se défile à l’horizon
à l’heure où vient la douce saison.
Étant condamné à t’aimer,
je ne laisserai point mes sentiments s’enfumer
Je me battrai toujours tel un vaillant ayant un
cœur d’un béton armé
pour que demain
Peu importe tu sois sur mon chemin.
Ô toi ma chère !
je t’envoie ces doux vers
pour lutter contre le froid d’hiver.
tellement tu me manques
Mon âme se démolie
J’ai mal, je souffre,
je porte le soleil noir
De la mélancolie !
Va vite, cours, vole et reviens moi le 14 février
Tu feras de moi ton cavalier
Et partout où on mettra les pieds
pour un moment fabuleux ,
Nous seront publiés…
Ce jour là, je ne vais surtout pas l’oublier !
Écrit par : L’INCONSOLÉ POÈTE