LE RÉVEIL DU SOUNDIATA KEÏTA

Alors qu’un jour après des jours, le lion se réveille de son sommeil. Le bruit doux de son rougissement hurla la célébration de la Francophonie. La célébration de cette langue qui fait bouger ma langue, cette langue qui est loin d’être celle de nos chères mères mais celle d’un certain Molière, éveille l’âme grandie dans les soucis de réussir dans la vie. Bien que l’inquiétude intimide le courage, cette fois-ci, United States International University-Africa s’est déchaînée silencieusement de sa propre caricature et sort de l’eau. Avez-vous déjà vu disparaître une ultime belle opportunité que tout le monde aurait souhaité à cause d’une personne ?

Voici l’histoire des jeunes étourdies qui choisissent de s’égarer au lieu de partir en France et parvenir à aboutir au sommet de leurs rêves. Poursuivre ses études en tant que boursier, boursière. Tout payé ! On se demande c’était quoi la raison ? Sans doute l’amour… si tu penses que ça ne pourrait jamais arriver, là t’as vraiment raté une très belle journée entrelacée à des confessions choquantes. Jeudi le 28 mars, tout le monde était à USIU-AFRICA… et pourquoi ? Pour célébrer le mois de la Francophonie.

Pour la toute première fois que l’université USIU-AFRICA met sa main sur la pâte pour soutenir le mouvement promoteur de la langue française au Kenya à savoir le mouvement Francophone au Kenya tout en accueillant à bras ouverts des différents clubs universitaires tels que :  CEFRUNA de l’université de Nairobi, LA PLÉIDE de l’université Kenyatta, TUK club l’université Technique du Kenya (la TU-K) et tant parmi d’autres. 

Ainsi que certaines associations promotrices du français ont été bien présentes et bien accueilli notamment :

La CÔTE DES VOIX, LE KIFARANSA VILLAGE…, la présence de MITAHATO premier village Francophone au Kenya, la Radio CENTANS, la justesse de CAMPUS FRANCE, de SCIENCES PO, tintinnabulèrent le moment inoubliable que USIU nous a fait vivre ce jour-là.

De plus, l’intervention prodigieuse du SAMOURAÏ ciseleur de mots M. Abubakar BAKARI, « Le plus grand défi qu’on a en tant qu’apprenant, c’est qu’on court derrière les résultats, assoiffé de fruits savoureux sans mettre des efforts ». Dit-il durant la table ronde. Le méfait de l’apprentissage du français au Kenya, a belle et bien eu sa dose. Des idées flamboyantes : les professeurs doivent allumer la curiosité des apprentis.

De là, j’ai personnellement appris qu’apprendre une langue, c’est d’abord tolérer, accepter autrui, le moi qui n’est pas moi. C’est apprendre à se comprendre. C’est aimer sans être forcé. Donc, si ces points ci-avant ne sont pas assez pertinents ni convaincants, alors je te conseille d’apprendre les langues dans la mesure du possible. Car, celui qui parle la langue d’un peuple, évite son mal.

Rédigé par : L’INCONSOLÉ POÈTE

1 thought on “LE RÉVEIL DU SOUNDIATA KEÏTA”

  1. Mercy Nasambu Wanyonyi

    Comme member de LA PLÉIADE, c’était vraiment un moment inoubliable et un jour à ne pas rater.

    Chapeau aux organisations!

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